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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 11:40

Vailleau-Claude---1917.jpgCousin

Nom : VAILLEAU Prénoms : Claude
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat* - 156e R.I
Complément : 26e cie ou 2e cie
Matricule, recrutement : 1438 - Autun
Date de naissance : 23/02/1897
Commune de naissance : Saint Symphorien de Marmagne
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire
Date du décès : 16/02/1917
Commune du décès : Troyes
Département ou pays : 10 - Aube
Lieu, complément : Hôpital mixte
Autres informations : 156e R.I. - Décédé à l'Hôpital mixte de maladie contractée en service - Fils de Jean et de Jeanne Gien. - Transcription à St-Symphorien-de-Marmagne (71) le 16/02/1917. - Mention " Mort pour la France", inhumé à Suippes (51), Nécropole Nationale " La Ferme de Suippes", tombe individuelle n° 318, carré 14/18 Troye. 
Se trouve sur le monument aux morts de Saint Symphorien de Marmagne.
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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 18:37

Degueurce-Louis---1915.jpg

Cousin :

Nom : DEGUEURCE  
Prénoms : Louis
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : soldat - 10e R.I. - Régiment d'Infanterie
Complément :
Matricule, recrutement : 937 - Autun
Date de naissance : 03/10/1880
Commune de naissance : Le Creusot
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire
Date du décès : 07/07/1915
Commune du décès : Ailly
Département ou pays : 55 - Meuse
Lieu, complément : Bois d'Ailly
Autres informations : Tué à l'ennemi, disparu. Fils de Edmé Degueurce et de Marie Piat. - Jugement rendu le 13 décembre 1922 par le tribunal d'Autun, transcrit le 30/12/18922 au Creusot (71) - Le 7 juillet 1915 le 10e R.I aura : 37 tués, 183 Blessé, 267 disparus.

 

 

 

 

 

 

 

 

10 Régiment d'Infanterie :

 

Quelques jours avant :

 

01 juillet 1915 :

 

En préparation de Recherche le : 17/06/2010

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Degueurce-Louis---1915-disparru-note.jpg

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 12:22

Cousin :

Bonnazzi Alexandre b 133eRINom : BONAZZI Prénoms : Alexandre
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat - au 133e RI
Complément :
Matricule, recrutement :

Date de naissance : 13/03/1897
Commune de naissance : Givry (71)
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire

Date du décès : 03/06/1927
Commune du décès : Givry (71)
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire
Lieu, complément :

Autres informations :

soldat au 133e RI

Gazé en ou avant 1917, Croix de guerre avec étoile de bronze

Fils de Antonio et de Anne Vallot, X à Givry en 1922 avec Jeanne Chanut. ½ frère de Gustave Corneloup.

 

Pour l'instant je ne trouve rien sur les JMO du 133e RI qui contienne très peu de pages.


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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 11:45

Gustave Corneloup b

Cousin :

Nom : CORNELOUP Prénoms : Gustave
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat -
Complément :
Matricule, recrutement :

Date de naissance : 17/03/1893
Commune de naissance : Champforgueil (71)
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire

Date du décès : 20/01/1980
Commune du décès : Le Creusot (71)
Département ou pays : 71 - Saône-et-Loire
Lieu, complément :

Autres informations :

soldat au

Le 28/07/1916 se trouve dans la Meuse ( photo)

Fils de Gustave et de Anne Vallot, X à Givry (71) en 1921 avec Marie-Louise Rougeot.

1/2 frère de Bonazzi Alexandre.

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 15:52

boutillon-claude---1915.jpg

Cousin, fils de Philippe et Marie Commeau.

Matricule n° 835 – Chalons sur Saône

 

Tué à l'ennemi - Fils de Philippe et de Marie COMEAU, époux de Jeanne SOUFFLET, mariés à Saint-Vallier (71) en 1909 - Décès transcrit à Montceau-les-Mines (71) le 02/07/1915 - Repose N.N. Marbotte à Apremont-la-Forêt (55) tombe n° 1604

 

56e RI : 29e Bridage, 15e Division Infanterie, 8e C.A, constitution 3 Bataillons.

 

 

 

 

17 mai 1915 : Emplacements détaillés des Cies du 56e

État Major :

Poste de commandement du colonel : Bois Mullot

Bureau et compagnie Hors Rang : Pont sur Meuse

 

 

1er Bataillon : Commandant Hayotte

  • 1ere Cie ; 1 peloton au ouvrage du 134e, 1 peloton au ravin du bois mullot ( ce dernier monte la nuit au ouvrage du 134e

  • 2e Cie ; tranchées Ouest de la carrière

  • 3e Cie ; sablière et boyaux

  • 4e Cie ; en première ligne, tranchée Sud-Ouest de la Maison Blanche.

 

1915-06-30-extrait-1-p-22-56e-RI.jpg

2e Bataillon : Capitaine Goudy

  • 5e et 8e Cie en deuxième au Bois Mullot

  • 6e et 7e Cie tranchées de la Carrière.

 

3e Bataillon : Commandant Greiner

  • 9e Cie, tranchée du poste d'écoute de la Maison Blanche

  • 10e Cie, en réserve pour l'attaque du 171e – boyau du 56e, en arrière de la Maison Blanche

  • 11e Cie, tranchée Ouest de la Maison Blanche.

  • 12e Cie, Boyau de la Maison Blanche.

  •  

Cies de Mitrailleuses :

  • 1 section dans la tranchée de Melière

  • 1 section à la sablière

  • 1 section à l'ouvrage 35

  • 1 section au ravin bois mullot

  • 1 section à prix part à l'attaque de la maison blanche avec le 3e Bataillon.

 

 

 

 

 

Évènement de Guerre :

 

Attaque conformément à l'ordre du Général commandant la 15e Division d'Infanterie, un Bataillon du 56e, 1 Bataillon du 171e ( Commandant Portrer), le 3e Bataillon du 56e ( Commandant Greiner) et la Cie 8/3 du 4e Genie (Capitaine Bouillez) sous les ordres du Lt/Colonnel Duchez ont attaque à 2h30 la tranchée des mélères de la Maison Blanche.

L'attaque a été effectué par le 171e avec 3 Cies en première ligne et une Cie en soutien.

Le Bataillon Greiner a appuyé l'attaque avec deux compagnies.

A 2h30, la tranchée Melières est prise par le 171e; les allemands se maintiennent dans le boyau de la Maison Blanche, lequel en aussitôt débordé.

A 3h30, deux compagnies allemandes sont signalées du Bois d'Ailly sur le Bois des bouleaux. Le Colonel les fait prendre à parti par l'artillerie de la Rive Gauche.

A 4h30, la Maison Blanche est occupé par un violent combat. Les troupes attaqués sont les 6e et 8e Cies du 65e RI Prussien avec 3 mitrailleuses.

Nous faisons 90 prisonniers dont 3 officiers et enlevons 3 mitrailleuses.

A 5h20, l'artillerie allemande se dévoile pour la première fois contre la tranchée des Melères.

A 8h45, elle commence sont bombardement continu de la Maison Blanche et des boyaux allant sur l'Est. Ce bombardement continu toute la journée, occasionnant de nombreuses pertes.

A 13h45, une petite tentative de contre-attaque sur le bois mullot est enrayé par les feux de Bataillon Greiner (56e) et du Btn Langlois ( 171e).

A 16 heures, une tentative d'attaque de notre part à l'Est de la maison blanche est enrayé par un violent tir de barrage de l'artillerie ennemie.

Claude BOUTILLON sera tué ce jour là.

 

Copie-de-1915-03-croquis-Jmo-du-56e-RI.jpg

 

Extrait du document de plusieurs pages, actuellement en préparation sur lui.

extrait Carte JMO du 56e RI juin 1915

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7 juin 2010 1 07 /06 /juin /2010 18:10

Chardat-charles---1918-MM-Asnois.jpgCousin : CHARDAT Charles : Fils de Jean et de Marie Nicolas

Matricule n° 1022 – Poitiers, classe 1899 – MaM : Asnois

Ruban de la Croix de guerre 1914-1918

 

 

 

 

 

Signalement :

Cheveux et sourcils, châtain

yeux roux, front ordinaire

nez et bouche moyen

Taille : 1,80 m

profession cultivateur

degré d'instruction : générale: 2; militaire: exercé

décision du conseil de révision et motif : Bon, dispensé frère mort au service.

Détail des services et mutation diverse

incorporé au 125e RI le 14/09/1900, arrivée au corps le dit jour n° matricule 2176 et soldat de 2e classe. Renvoyé dans la disponibilité le 14/09/1901, certificat de bonne conduite accordé.

Passe dans la réserve de l'armée active le 01/11/1903

A accompli une 1ere période d'exercices dans le 125e RI du 20 /08/1916 au 15/09/1906

A accompli une 2e période d'exercices dans le 125e RI du 28 avril au 14 mai 1909.

 

Grande Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité ( décret du 1er août 1914) au 68e RIT, arrivée au corps le 06/08/1914. Passé au 316e RI le 06/01/1916. Passé au 264e RI le 15 juin 1916. Blessé le 28 juin 1916. Inapte 1 mois, commission de réforme d'Ancenis du 23/12/1916. Apte par ordre de la commission d'Ancenis du 27/01/1917. Parti en renfort le 11 /03/1917. Disparu à Ostel le 27/05/1918. Campagne contre l'Allemagne du 06/08/1914 au 27/05/1918.

Blessure : 28/06/1916 à Fay par éclats de grenade " plaie à la jambe et au pied droit". Décès fixé au 27 mai 1918 par jugement déclaratif de décès rendu par le tribunal de Civray le 18 novembre 1921.


Médaille militaire à titre posthume ( J.O du 28/09/1922 : A toujours servi en brave et excellent soldat, donnant au cours des combats les plus belles preuves de sa valeur et de son dévouement. Tombé glorieusement pour la France le 27/05/1918 à Ostel dans l'accomplissement de son devoir. Croix de Guerre avec étoile d'argent.

A vécu à Pressac 1900, Epenède 1905, Asnois 1909.

 

JMO du 64e RI

 

27 mai 1918 :

1h : déclenchement d'une préparation d'artillerie ennemie extrêmement violente. Obus toxique formant vagues très denses.

1h30 : la 3e Cie va occuper la bretelle du bois quartier (ordre de la division).

2h : la 1er Cie monte de rouge-maison à Rochefort (ordre de la division ).

3h30 : Le chef de bataillon Chevallier cdt le 3e Btn fait connaître par TPS : «rien à signaler» . Beaucoup de gaz.

3h45 : Du Commandant Chevallier par TPS : « Rien à signaler. Pas d'action d'infanterie».

4h : Déclenchement de l'attaque d'infanterie ennemie.

4h35: Des Vaumaires par TPS : « On se bat dans la grotte»,

4h45 : La Cie Angeli (7e) se porte sur le camouflet et carrefour Ouest de Froidmont.

6h00 : De la 12e Cie de l'épine par TPS : « tiens toujours mais les boches me tournent. Il me manque des munitions. Envoyez des renforts le plus vite possible; sans cela je ne pourrai tenir longtemps».

6h10 : De la 9e Cie de l'abordage par TPS : « Le Lieutenant Chambre tient toutes ses positions. Une centaine de boches se sont infiltrés vers la Royère. Demande renfort.»

6h12 : la section Hilléreau de la 1er Cie part pour dégager l'abordage.

6h17 : Le peloton Sermon de la 2e Cie de Bartan part en contre-attaquer au belvédère.

6h17 : Le reste de la 2e Cie est mis à la disposition du Colonel. De même pour la 1ere C.M (ordre de la Division). Les deux unités doivent rejoindre Rochefort.

6h14 : de Froidmont par TPS : « Nous tenons Belvédère, Culot, Chemin des Dames, peut-être Etang. demande renfort et demande de tir sur le fond des Vaumaires.

6h15 : l'artillerie française tir trop court.

6h15 : Le commandant Caruel, cdt le 3e groupe du 51e d'artillerie demande Comt Chevallier à ce que le tir de l'artillerie française soit réglé par fusées signaux.

6h45 : de l'Epine (12e Cie) par pigeons voyageurs : « je suis tourné au PA de l'Epine».

6h50 : Du Comt Chevalier par TPS « nous tenons difficilement au Belvédère, Culot, Gorge. Demande renseignement et renfort ».

6h50 : De Froidmont par TPS : « combat à la grenade à la sortie Nord de Belvedère, le boche me déborde. Je crois que Culot tiens encore, ainsi que chemin; Mais il y a du boche entre nous.»

7h21 : De Froidmont par TPS : Nous sommes cernés à Froidmont; nous résistons.»

7h22 : De l'abordage par PV : « Lieutenants chambre et Robert prisonniers. Encerclés au PA du moulin Didier.»

7h24 : Le Capitaine Gougeon avec deux sections de la 1ere Cie se porte vers Froidmont pour se relier à la 7e Cie et dégager la sortie Sud.

7h25 : Demande renfort à la Division.

7h30 : Par TPS au Commandant Chevallier : « avez vous établi contact avec Cie Angeli dirigée sur Camouflet et Carrefour Ouest de Froidmont.»

7h30 : Du Capitaine Eulière cdt le 2e Btn : « les boches débouchent dans le ravin de Certeau. Par trois fois, je les ai remontés sur le plateau. Camouflet et Couteau tiennent toujours».

7h45 : Le Commandant Chevallier est prévenu par TPS que le Capitaine Gougeon était partie le dégager.

7h45 : infiltration ennemi dans le ravin de Certeau avec lance-flammes.

8h00 : La Division téléphone : «Si la situation devient trop critique vous pouvez vous replier sur Chavonne.»

8h05 : Le Commandant Bon en est informé; Il continu l'organisation de la défense de Rochefort.

8:10 : le Lt Colonel cdt le 64e quittent Rochefort emportant toutes les archives. Les boches débordent par la Croix sans tête et Folemprise.

8h30 : Des Vaumaires par PV (Pigeon Volant) : « Sommes une quarantaine dans la creute des Vaumaires dont nous défendons les entrées. Peu de munitions. Signé Le Bihan»

10h00 : Le Lt Colonal passe l'Aisne du pont, regroupe les éléments qui se replient et organise la défense du pont.

10h20 : Le Capitaine Cluère, après avoir évité l'encerclement à Certaux et ensuite à Ostel, est parvenu en combattant jusqu'au pont 3.

11h00 : Tous les éléments regroupés sont placés sous commandement du Capitaine Cluère qui organise la défense de la deuxième position en liaison avec le 146e.

17h00 Ordre est donné au régiment de se regrouper à Ciry-Salsogne mouvement terminé à 22 heures.


Ce jour là Charles Chardat sera tué

 

Pertes de la journée du 27 mai 1918:

Officiers : 40

1 tué, 39 disparus

troupes : 1541

5 tués, 33 blessés, disparus 1503, y compris les pertes des sections de discipline d'armée, et de division rattaché au 64e.

 

JMO DI

Dans la matinée du 28 mai 1918 les régiments de la Division d'Infanterie très diminués sont rassemblés à Ciry-Salsogne.

Les pertes connues sont :

64e RI, officiers 35, hommes 1760

93e RI, officiers 41, hommes 2170

137e RI, officiers 49, hommes 1750.

 


Comme tous les autres, une documentation est en préparation sur lui, mais je cherche photo de lui...

Je cherche aussi une carte EM du secteur

Il semble que les JMO de Brigade ( 41 et 42e pour 1918 n'existe plus)

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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 17:57

Saivre-Pierre-classe-1897-p-385---1-poitiers.jpgCousin

Sévre (Saivre) Pierre Classe 1897, matricule 213- Poitiers

°,16/05/1877 à Champagné St Hilaire (86)

X, en1905 à Pauline Viaux

+, 1960 (37)

Fils de René et de Villanneau Marie-Emilie

 

Frère de Jules Sevre, soldat à divers RAL

Cousin-germain des frères + Dupuis, et de Villanneau

 

 

Classe 1897 , matricule de recrutement 213– Poitiers ( page 285 Poitiers)

Signalement :

Cheveux et sourcils : brun

yeux : gris – front : haut

nez fort et bouche : moyenne

menton : rond, visage : ovale

Taille : 1,74, degré d'instruction générale : 0

marque particulière : néant

Profession : cultivateur

N° 79 au tirage de Gensay

Décision du conseil de révision et motif : Bon

 

Détail des services et mutations diverses.

Incorporé au 77e Régiment d'infanterie, le 16 novembre 1898. Certificat de bonne conduite «accordé».

 

Guerre 1914-1918

 

Rappelé à l'activité ( décret du 1er aout 1914 ) au 68e Territorial d'Infanterie, arrivé au corps le 06 aout 1914. Envoyé en congé illimité de démobilisation à Breuil-Labesse le 30 janvier 1919 par le 125e Régiment d'Infanterie, 2e échelon n° 2245.

Disparu le 27 mars 1918 au boyau des Flandres au Nord d'Oulches Aisne, présumé prisonnier. Avis aff- n°x 160 du 29 juillet 1918. Rapatrié le 25 novembre 1918.

Campagne contre l'Allemagne du 06 aout 1914 au 30 janvier 1919.

 

fait prisonnier lors du combat du Chemin des Dames :

 

.... Ainsi le 27, à dix heures du matin, tous les combattants du 68e, RIT à l'exception de quelques isolés, sont morts, blessés ou prisonniers. Le lieutenant-colonel TORROLLION, le capitaine de BEAUREGARD, les lieutenants MOREAU, THOMAS et MARCHE ont été tués ; les lieutenants KAYSER, PHILIPPE, THIERRY, GUILLON, LAVAULT, MARTEAU, CAZAUBON sont blessés. De 39 officiers et de 1.659 hommes, le commandant de CARLES ne recueillera, à Luys que 4 officiers et 170 hommes, pour la plupart permissionnaires, malades, employés. Les semaines suivantes, à mesure que rentreront des permissionnaires et les égarés, l'effectif atteindra 5 officiers et 611 hommes : 26 officiers et 1.048 soldats ont disparu le 27 mai. Sans doute, sur ce nombre il n'y a pas plus de 200 morts. Mais il y a près de 400 blessés. Et tous ceux que les balles et les obus ont épargnés ont été plus ou moins atteints par les gaz. ( extrait de l'historique du 68e RIT)

 

 

 

Si par hasard vous avez une photo de Pierre contactez moi, je suis preneur.

 

En préparation ( 02/06/2010) extrait d'un document de déjà 9 pages sur lui.

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31 mai 2010 1 31 /05 /mai /2010 18:21

dupuis-Hilaire---1917.jpgCousin : Tué par éclats de grenade au secteur des deux bois. Venu du 107e RI. Mention " Mort pour la France ", inhumé dans le département de la Meuse, commune de Bras sur Meuse, à la Nécropole nationale " Bras sur Meuse", tombe individuelle n° 3383.

Transcrit le 09/08/1917 à Surin ( Vienne). Fils de Jean et de Lafleur Villanneau. Frère de Edmond, tué le 05/11/1914. - Secteur des deux bois se trouve vers Douaumont, les chambrettes, Hermitage.

 

En préparation à partir d'aujourd'hui. (30/05/2010)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

30-05-2010.JPG

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 14:15

dufour-Henri-matricule-1908.jpg

Cousin : DUFOUR Henri, fils de Louis et de Marie Michaud

né le 12 mars 1888 à Pressac (86) - + Saint Germain des Fossés (03) le 20/11/1964

Frère de Antoine + prisonnier de guerre en nov. 1914 à Berlin.

Classe 1908 , matricule de recrutement 688 – Poitiers.

Ruban de la Croix de guerre 1914-1918

 

Signalement :

Cheveux et sourcils : châtain

yeux : gris– front couvert

nez et bouche : moyen

menton : rond, visage : ovale

Taille : 1,63, degré d'instruction générale : 3

marque particulière : verrues nuque et bras droit, pieds plats

Profession : domestique

 

Guerre 1914-1918

 

Rappelé à l'activité ( décret du 1 aout 1914) au 49e régiment d'Artillerie. Arrivée au corps le 3 aout 1914 (1). Passé au 58e régiment d'Artillerie le 29 mai 1915. Réaffecté au 49e Régiment d'Artillerie le 29 mai 1915 ayant été affecté par erreur au 58e Artillerie. Envoyé en congé illimité de démobilisation à Availles-Limousine le 3 avril 1919 par le 20e Régiment d'Artillerie, 6 échelon n° 1767.

Maintenue service armée. Invalidité inférieur à 10 %. Décision de la commission de réforme de Poitiers du 15 juin 1920 (1). Aux armées le 8 aout 1914. Ambulance 11/9 le 23-11-1916 «intoxication par gaz». Hôpital temporaire 78 d'Amiens du 1 décembre 1916 au 6 décembre 1916. convalescence d'un mois aux armées le 8 janvier 1917. Passé au 249e Régiment d'Artillerie le 1 avril 1917. Évacué blessée le 22 aout 1918 ( plaie bras droit par éclats d'obus), hôpital auxiliaire n°201 à Tulle le 1 septembre 1918. Rentré au dépôt le 27 janvier 1919.

Placé dans la position dite « sans affectation « le 5 aout 1927.

Maintenu service armé. Proposé pour pension temporaire avec invalidité de 10% par la commission des réforme de Clermont-Ferrand du 16 octobre 1928, pour : 1° sclérose pulmonaire sommet gauche. 2° Trouble gastro-intestinaux; 3° Algies du membre supérieur droit.

Maintenu service armé, 10% « tempr» par la commission de réforme de Clermont-Ferrand du 16 juillet 1930 pour séquelle d'intoxication au gaz, algies d'un membre supérieur droit. Maintenu service armée par la commission spécial de réforme de Clermont-Ferrand du 18 aout 1932 pour 10%, 1°pour sclérose pulmonaire P.M; 2° Trouble gastro-intestinaux P.M; 3° algies du membre supérieur droit.

Affecté à la poudrerie du Ripault, le 20 décembre 1933;

Classé dans la dernière classe de la 2e réserve , le 5 octobre 1935, étant père de 3 enfants vivants (art 58 loi du 31 mars 1928).

« passé» en domicile subd de Moulin le 6 février 1936.

 

Campagne :

Contre l'Allemagne du 3 aout 1914 au 2 avril 1919.

intérieur du 03/08/1914 au 07/08/1914

aux armées du 08/08/1914 au 21/08/1918

intérieur ( double) du 22/08/1918 au 22/08/1919

intérieur du 22/08/1919 au 02/04/1919.

 

Blessures, actions d'éclat, décorations, etc.

Blessé le 23 novembre 1916 « fortement incommodé par gaz très toxiques provenant d'obus asphyxiants allemands. Blessé le 22 aout 1918 par éclats d'obus au bras droit.

Citation à l'ordre du régiment du 9 aout 1917 « très bon maitre pointeur a toujours fait courageusement son devoir». Blessé une première fois le 14 octobre 1916 par éclat d'obus, une deuxième fois le 23 novembre 1916 par intoxication par obus à gaz.

Citation à l'ordre de l'artillerie de la Division du 22 mai 1918 « Très bon maitre pointeur, dévoué, courageux et ayant beaucoup de sang froid. N'a pas cessé un seul instant d'assurer son service malgré les violents bombardement de la batterie, notamment les 20 avril et 29 mai 1918.

 

Croix de Guerre avec 2 étoiles en bronze.

Médaille militaire par décret des 27 et 29 décembre 1923. 13 ans de service S camp.M a été blessé et cité JO du 1/1/1914.

 

 

 

Historique du 249e RAC

En batterie dans le secteur de Grivesnes du 15 Avril au 3 Juin, le régiment appuie la brillante attaque exécutée par le 125e régiment d'infanterie pour la prise du Parc de Grivesnes (9 Mai 1918) et coopère à la préparation de l'attaque de Cantigny par la 1re Division américaine (28 Mai 1918).


PRISE DU PARC DE GRIVESNES (9 Mai 1918)

Au moment où la 152e Division avait été appelée dans le secteur de Grivesnes. Les Allemands étaient restés maîtres de la partie est du Parc de Grivesnes pendant que nos occupions la partie ouest du Parc et la totalité du village. La position ennemie dans le Parc constituait un fort point d'appui, l'opération du 9 Mai avait pour but d'enlever ce réduit. La préparation d'artillerie dura une demi-heure, c'est une violente concentration d'artillerie de tout calibre et d'engins de tranchées ; l'infanterie allemande surprise, coupée de toute liaison avec l'arrière, ne peut prévenir son artillerie et n'arrive pas à obtenir de tirs de contre-préparation ou de barrage. Notre attaque débouche soudainement à 17 heures. Les Allemands sont surpris par l'irruption des fantassins français qui, collés au barrage roulant exécuté par nos batteries, entrent dans les positions ennemies avec le dernier obus. Aucune résistance n'est possible : tout ce qui n'est pas tué est pris ; les cinq compagnies qui tiennent le Parc et ses abords sont complètement nettoyées ; l'ennemi laisse entre nos mains 262 prisonniers valides dont 4 officiers. Ce résultat est atteint en 20 minutes.

 

Copie de 1918-05-09 l'attaque du parc de grivesnes par le 1

carte se trouvant sur le 125e RI de la 152eDI, régiment ayant exécuté l'attaque sur le parc de Grivesnes (80).

 

Extrait du document d'environ 8 pages en cours sur lui.

cherche une photo de lui, contacté moi.

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 22:29

fiche-matricule.jpgCousin : fils de de Isidor et de Juliette Vignaud, né le 17 mars 1888 à Saint Martin L'Ars (86).

 

extrait d'un document de plusieurs pages sur lui en cours.

Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité (décret du 1er aout 1914) au 49e Régiment d'Artillerie, arrivée au corps le 03 aout 1914, passé au 38e Régiment d'Artillerie le 09 octobre 1916. Passé au 5e régiment d'artillerie de Campagne le 3 décembre 1916 (armée d'Orient). Passé au 204e Régiment d'Artillerie de Campagne le 1er avril 1917. Passé au 49e Régiment d'Artillerie de Campagne le 13 juillet 1918. Passé au 109e Régiment d'Artillerie Lourde le 1er juillet 1919.

Envoyé en congé illimité de démobilisation à Saint-Marin-L'Ars le 22 juillet 1919 par le 20e Régiment d'Artillerie 7e échelon n° 1070.

  1. Partie aux armées le 11 septembre1914. Blessé le 20 mai 1916 à Avocourt et évacué le dit jour, hospitalisé à l'hôpital d'Auxerre du 21 au 30 mai 1916, et à l'hôpital de Mazamet (Tarn) du 31 mai 1916 au 1er aout 1916. Rentré au dépôt le 2 aout 1916.

  2. Partie en renfort à l'Armée d'Orient le 9 octobre 1916,

  3. Rentré au dépôt du 49e R.A.C. Le 13 juillet 1918. Entré à l'hôpital complémentaire de Poitiers ( pour paludisme) le 8 aout 1918 et à l'hôpital n° 54 à Beaudiment du 14 au 22 aout 1918. Rentré au dépôt, (section de paludéens) le 23 aout 1918. Envoyé en congé de convalescence du 14 novembre 1918 au 2 janvier 1919. Rentré au déport le 04 janvier 1919.

 

Blessures, action d'éclat, décoration.

Blessé le 20 mai 1916 au bras droit par éclat d'obus à Avocourt. Médaille de la victoire, Médaille commémorative de la grande guerre.

 

 

MO : 20/05/1916 du 49e Régiment d'Artillerie de Campagne. 1ere batterie

(Bataille de Verdun du 28/04/1916 au 04/06/1916 )

 

 

20 mai 1916 : Tri sur tranchée nouvelle au Nord & au Sud du R2. Tir sur Haucourt & sur le ravin des Aulnes; Barrage à 20 h. Tir sur pente Nord du 304. Bombardement des batteries avec obus de gros calibres & obus Lacrymogènes. A la, 3e Bie, le 2e canonnier servant Chauvet est tué, sont blessés et évacués le 2e cs Mary, le 2e cs Tribert, le 2e cs Folezon, et le 2e cs Pitault.

Un canon y un caisson sont détériorés à la 2e Bie.


Blessé il sera évacué le lendemain sur Auxerre, et ensuie un mois de convalo à Mazamet


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