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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 17:15

PINAUD-Antoine---1914-classe-1901-.jpgBranche Caillaud

Nom : PINAUD Prénoms : Antoine
Conflit : 1914-1918
Grade, unité : Soldat - 125e R.I. -
Complément : 2e Cie
Matricule, recrutement : 246 - Poitiers
Date de naissance : 08/10/1881
Département ou pays : 86 - Vienne
Commune de naissance : Availles-Limouzine
Genre de mort : Tué à l'ennemi
Date du décès : 05/11/1914
Département ou pays : 9131 - Belgique
Commune du décès : Saint-Julien
Lieu, complément :
Date de transcription : 23/06/1917
Département ou pays : 86 - Vienne
Commune de transcription : Mauprevoir
Département ou pays inhumation:
Commune inhumation :
Lieu inhumation :
Carré, rang, tombe :
Autres informations : Fils de Joseph et de Louise DEPEYROUX. Marié en 1911 à Maurpevoir (86) avec Eugènie DELHOUME.
Sources : Mémoires des hommes, état-civil d'Availles, généalogie Collatérale,
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16 avril 2012 1 16 /04 /avril /2012 14:44

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Cousin 16 : Xc

Conflit :1914-1918

Nom:CHAPERON

Prénoms:Joseph

né le 24 août 1880 à Saint Coutant (86)

fils de Pierre et de Marie FOUQUAUD

x en 1906 à Ardilleux (79) avec Marie-Rachelle ROUSSEAU (cousine)

+ : 30/12/1917 à (Aisne)

 

  • Grade, unité, complément : Soldat - 307e R.I. 18e cie
  • Matricule, recrutement : 269 - Angoulême
    Date naissance : 24/08/1880
  • Commune naissance : Saint-Coutant
  • Département ou pays naissance : 16 - Charente
    Date décès : 30/12/1917
  • Commune décès :
  • Département ou pays décès : 02 - Aisne
  • Lieu décès, complément :
    Genre de Mort : Mort(e) en captivité
    Date transcription : 23/10/1919
  • Commune transcription : Chef-Boutonne
  • Département ou pays de transcription : 79 - Deux-Sèvres
  • Commune d'inhumation : Guise
  • Département ou pays d'inhumation : 02 - Aisne
  • Lieu d'inhumation : N.N. la Désolation
  • Carré, rang, n° de tombe : Tombe 625
    Informations : Mention " Mort pour la France". Jugement rendu le 10/10/1919 par le tribunal de Melle (79) Sur le JMO du 307e il est dit disparu le 16/05/1917 dans le secteur de Sorny (02). mort au lazareth de campagne de "Onlarbe".

  • Source : SGA-MdH, sépulture de guerre, généalogie collatérale, recensement de St Coutant 1881, JMO du 307e R.I.
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15 avril 2012 7 15 /04 /avril /2012 19:39

ROUSSEAU-Ernest---1914-MdH.jpg

 

 

 

 

Historique du 125e RI

Réméréville

Mais la bataille maintenant bat, son plein. Une partie du 9e corps fait route vers la Belgique, l'autre doit suivre. Mais le 20 août, à 9 heures du soir, l'alerte est donnée aux régiments sur le point d'embarquer. Le 125e, n'emportant que ses cartouches et des vivres, abandonne en hâte la caserne Kléber. Les sections passent la nuit dans les luzernes ou les blés ; le lendemain, elles s'établissent sur place dans des tranchées creusées par le Génie.

Le 24 août, un escadron du 7e hussards annonce l'arrivée de fortes colonnes allemandes, et le 125e reçoit l'ordre de se porter en avant. Le mouvement commence à 6 heures 30, le 1er et le 3e bataillons en ligne d'attaque, le 2e en réserve dans le bois de Salvilau. Dans l'après-midi le régiment prend l'offensive. Les objectifs sont : Réméréville, cote 305 d'abord, puis finalement Hoeville et bois de Besange-la-Grande. A l'approche de Réméréville pleuvent les premiers obus allemands, et les bataillons doivent prendre leurs dispositions de combat.

Parvenus sur l'immense plateau qui s'étend au nord-est du village, nos fantassins sont reçus par une rude fusillade des Allemands. Les poilus ont commencé à se creuser des trous protecteurs et le jour s'éteint. Le 114e régiment d'infanterie, qui est arrivé à notre hauteur, pousse une charge à la baïonnette à laquelle le 125e régiment d'infanterie s'unit d'un élan superbe. Les mitrailleuses allemandes se mettent à cracher, faisant des vides en nos rangs, obligeant nos unités les plus avancées à s'établir sur le plateau.

Le 2e bataillon, qui stationne depuis le soir, faisceaux formés, devant l'église de Réméréville, gagne le champ de bataille avant l'aurore. Le feu est ouvert à 4 heures 30 par une vive fusillade, qui met obstacle à la progression du régiment déjà recommencée. Vers 7 heures 30, l'artillerie ennemie, assoupie jusqu’alors, commence ses tirs sur nos positions et nous sommes cinglés en même temps par un déluge de balles.

Sous la protection de notre artillerie, qui a pris position un peu plus en arrière, et de nos sections de mitrailleuses, qui arrosent de leurs feux les bois, les taillis et les tas de gerbes derrière lesquels les Allemands s'infiltrent et se dissimulent, les compagnies se replient une à une, suivant l'ordre donné, vers la sortie ouest de Reméréville.

Il est à peu près 10 heures quand la bataille d'infanterie cesse à notre avantage. Nos pertes sont élevées.

Le 26 août, le régiment reprend sur le plateau de Réméréville les positions de la veille fortifiées par le Génie. Il reste là jusqu'au 3 septembre, d'où après relève à 1 heure du matin, il fait étape jusqu’à Laneuveville-devant-Nancy. Le 125e prend un repos d'une journée, et embarque à Jarville dans la soirée et la nuit du 4 au 5.

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 17:26

LAURENDEAU Louis-Ernest, caporal au 169e R.I

GUILLON Jean-Hubert, soldat classe 1897

GUILLON Albert-Jean, soldat classe 1907

NEVEU Pierre, chemin de fer classe 1893

NEVEU François

NEVEU Jules

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 19:35

NEVEU-JUles-classe-1902-NT.jpg

 

Cousin 16 : Branche Caille-Germaneau

Conflit :1914-1918

Nom: NEVEU

Prénoms:Jules

né le 28 octobre 1882 à Pleuville (16)

fils de Antoine et de Marie DEMONT dmt à Asnois (86)

x le

+ :

 

Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité ( décret du 1er août 1914) au 49e Artillerie

Arrivé au corps le 3 août 1914. Parti au armées le 17 juillet 1915.

Passé au 34e Régiment d'Artillerie le 17 juillet 1915.

Passé au 120e Régiment d'Artillerie Lourde le 1 novembre 1915.

Passé au 341e Régiment d'Artillerie Lourde le 1er mars 1918.

rentré à l’intérieur le 20 mars 1918, malade et évacué sur l'hôpital auxiliaire n° 105 à Gouin. Rejoint aux armées le 20 avril 1918.

Envoyé en congé illimité de démobilisation à Charroux le 11 mars 1919

 

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 17:07

 

NEVEU-Francois.jpgCousin 16 : Branche Caille-Germaneau

Conflit :1914-1918

Nom: NEVEU

Prénoms:François

né le 4 mai 1876 à Pleuville (16)

fils de Antoine et de Marie DEMONT dmt à Asnois (86)

x le

+ :

 

Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité ( décret du 1er août 1914) au 68e Territorial d'Infanterie.

Arrivé au corps le 7 août 1914. partie aux armées le 12 août 1914.

Passé au 20e escadron du train des équipages militaire ( service auto) le 17 janvier 1917.

Passé au 8e escadron du train du 2 février 1917.

Passé au 4e escadron du train le 1er juillet 1917.

Passé au 6e escadron du train le 23 décembre 1918.

Envoyé en congé illimité de démobilisation à Biévres le 23 janvier 1919, par le 20e escadron du train 2e échelon n°533.


Campagne contre l'Allemagne :

du 7 août 1914 au 25 janvier 1919.

intérieur camp simple du 7 août 1914 au 11 août 1914

aux armées camp double du 12 août 1914 au 25 janvier 1919

Blessure, Citation, Décoration : Néant.

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 16:22

 

NEVEU-Pierre-NT-classe-1893-chemin-de-fer-.jpgCousin 16 : Branche Caille-Germaneau

Conflit :1914-1918

Nom: NEVEU

Prénoms:Pierre

né le 19 août 1873 à Pleuville (16)

fils de Antoine et de Marie DEMONT dmt à Asnois (86)

x le

+ :

 

 

Guerre 1914-1918

Mobilisé dans son emploi du temps de paix au titre des sections de Chemin de Fer de Campagne du 2 août 1914 au 14 janvier 1919.

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 17:32

 

Guillon-albert-Jean-classe-1907-Rm.jpgCousin 86 : Branche Dufan

Conflit :1914-1918

Nom:GUILLON

Prénoms:Albert-Jean

né le 31 janvier 1887 à Joussé (86)

fils de Alfred et de Pauline LELONG domicilié à Usson du Poitou.

x le14/01/1911 à Usson du Poitou avec Marie AUDAUNEAU

+ :

Classe 1907, matricule de recrutement 8 / Poitiers –

 

Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité le 4 août 1914 (par décret du 1er aout 1914) au 125e Régiment d'Infanterie, arrivé au Corps le 4 août 1914..

Réformé n°2 le 4 décembre 1914 par la commission spéciale de Poitiers pour ulcère de l'estomac.

Campagne : du 4 août 1914 au 4 décembre 1914 contre l'Allemagne-Autriche.

Classé service armée par le conseil de révision de la Vienne siégeant à Gencay le 15 mai 1915 ( loi du 6 avril 1915).

Rappelé a nouveau le 9 septembre 1915 au 113e Régiment d'Infanterie, arrivé au corps le 9 septembre 1915.
hôpital mixte d'Orléans du 29 mai au 9 juin 1916. dépôt de convalescents d'Orléans le 10 juin 1916. Hôpital mixte d'Orléans du 24 août au 2 septembre 1916. dépôt de convalescents d'Orléans le 3 septembre 1916.
hôpital auxiliaire n°1 à Blois du 17 au 28 avril 1917. Rentré au déport le 29 avril 1917. hôpital n°50 à Orléans le 19 juillet 1917. Rentré au dépôt le 1er août 1917.

Parti en renfort le 15 décembre 1918.

Passé au 161e Régiment d'Infanterie le 24 décembre 1918. Envoyé en congé illimité de démobilisation à Usson du Poitou, le 24 mars 1919, par le 125e Régiment d'Infanterie, 6e échelon, n° 5844.

Placé dans la position dite «  sans affectation » le 10 avril 1927. Affecté à la poudrerie de Ripaule le 10 janvier 1933.

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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 16:22

 

Guillon-Jean-Hubert.jpgCousin 86 : Branche Dufan

Conflit :1914-1918

Nom:GUILLON

Prénoms:Jean-Hubert

né le 06 juillet 1877 à Joussé (86)

fils de Jean et de Marie DROUHAUT

x en1901 à Isle Jourdain avec Marie-Ernestine Trouvé

+ : en 1952

 

Classe 1897, matricule de recrutement 536 / Poitiers

 

Guerre 1914-1918

Rappelé à l'activité (décret du 1er aout 1914) au 94e Régiment Territorial d'Infanterie, arrivée au corps le 06 août 1914. Parti aux armées le 9 août 1914.

Passé au 62e régiment d'infanterie le 4 juin 1917.

Passé à la 11e section d'infirmier le 13 août 1917.

Disparu le 27 mai 1918 à Paissy (Aisne). Fait prisonnier le dit jour. Interné en Allemagne. Rapatrié le 7 décembre 1918.

Partie au dépôt le 10 janvier 1919 après permission de 30 jours.

Envoyé en congé illimité de démobilisation à Angoulême 7 rue Bouillaud le 22 janvier 1919 par la 12e section d'infirmier 2e échelon n° 41.

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 19:31

LAURENDEAU-Louis-Ernest---1915-.jpg

Collatéraux branche VOISIN
Nom :
LAURENDEAU

Prénoms : Louis – Ernest

Conflit : 1914-1918

Grade, unité, complément : Caporal - 169e R.I.

Matricule au recrutement : 1219 - Le Blanc

Date naissance : 14/05/1892

Département ou pays de naissance : 86 – Vienne

Commune de naissance : Le Vigeant

Date décès : 25/09/1915

Département ou pays de décès : 51 – Marne

Commune de décès : Servon

Lieu décès, complément :

Genre de Mort : Disparu

Date transcription : 11/07/1921

Département ou pays de transcription : 86 – Vienne

Commune transcription : Le Vigeant

Département ou pays d'inhumation :

Commune d'inhumation : Saint-Thomas-en-Argonne

Lieu d'inhumation : N.N Saint-Thomas-en-Argonne

Carré, rang, n° de tombe : Tombe n° 713

Autres informations : Fils de Louis et de Radegonde GALLON - Jugement rendu le 29/06/1921 par le tribunal de Montmorillon.(86). Mention "mort pour la France"

Sources : SGA-MdH, sépulture de guerre, état-civil du Vigeant (86) généalogie Collatérale.

 

 

 

 

 

 

Extrait du JMO du 169e R.I

 

JMO du 169e R.I

le 169 est placé sous les ordres de la 40e Division les 23-24-25 septembre 1915

 

le 25/09/1915 :

En exécution de l'ordre n°160 du 10e C.A. En date du 22 septembre 1915, le 169e forme l'aile droite de 128e D.I, ayant pour mission de prendre d’assaut les tranchées ennemies.

L'objectif est la ligne de batteries ennemies n°2986 – 3196 – 4498 – 4598 – 4897 – et la côte 184.

Le dispositif d'attaque est le suivant: 2e et 3e Btns en colonnes doubles sur la même ligne (troupes d'assaut) – 1er Btn en ligne de colonne de pelotons ( Btn de soutien) – La direction est N.S. La limite d'action au départ du régiment se trouve:

A droite: à 150 m de la lisière Ouest du bois de la Grurie.

A gauche: la lisière Ouest du Bois Beaurain et plus au Nord.

Les Btns d'attaque forment 4 vagues, marchant à 50 mètres de distance, poussées par les 2 vagues du 1er Btn. La Cie de mitrailleuses doit suivre le mouvement et se former en position face à droite pour empêcher toute contre -attaque ennemie de déboucher au bois de la Grurie.

Le 25 à 4 heures du matin le régiment a le dispositif suivant : les 2 premières vagues dans les tranchées 20,21,22,23,24 ( 1ere parallèle) la 3e vague dans la tranchée de soutien ( 3e parallèle). La 4e vague dans la 4e parallèle.

Le 1er Btn qui n'a pas de parallèle a le dispositif suivant : 1e et 3e Cies dans la tranchée Delaunoy, à cheval sur le boyau 9. - 2e Cie dans la tranchée de Carentan ; - 4e Cie tranchée 1ter.

Ce Btn se portera 1/4 d'heure avant l'attaque à hauteur de la tranchée de départ et de la 1ere parallèle pour se former dès que la 4e vague sera partie et s'ébranler à la distance prescrite.

L'ordre des Cies est le suivant de la droite à la gauche :

1ere et 2e vagues 10e, 11e, 5e, 6e, -

3e et 4e vagues 9e, 12e, 7e et 8e Cies.

5e et 6e vagues 4e, 2e, 1e, et 3e Cies.

A 8:35, l'ordre est donné que l'attaque aura lieu à 9 h 15,

a 9 h5' le 1er Btn quitte ses abris et se porte en avant pour aller se former dans la parallèle de départ et la première parallèle dès qu'elles seront évacuées par les garnisons qui les occupent.

L'artillerie ennemie canonne violemment le front du régiment depuis 8 h15.

 

Exécution d'attaque

A 9h15 la première vague franchit la tranchée de départ sous le feu de l'artillerie allemande.

Le Btn de droite trouve devant lui un réseau de fils de fer en partie détruit; le Btn de gauche n'a que quelques couloirs isolés pour se porter jusqu'à la tranchée allemande.

Les premiers éléments arrivent à la tranchée ennemie et continuent leur mouvement.

Les deuxième, troisième et quatrième vagues suivent, accueillies par un feu de mitrailleuses placées : 2 à la lisière du bois de la Grurie et 2 vers la lisière Sud du Bois Beaurain.

La ligne d'attaque est rompue ; à ce moment le Colonel est tué, le Commandant du 2e Btn est blessé ls cadres sont décimés, la moitié des sections n'ont plus de chefs. A l'effet du feu des mitrailleuses qui fauche les unités en ligne s'ajoute la difficulté de franchir les réseaux de défenses accessoires.

Les 5e et 6e vagues se forment sou un feu de barrage dans la parallèle de départ et s'ébranlent ; elles tombent sous le feu croisé des mitrailleuses du bois de la Grurie et du bois Beaurain qui n'ont pas cessé leur action.

Le tir de barrage de l'artillerie ennemie augmente d'intensité, des sections entières sont disloquées et tourbillonnent. Les blessés nombreux reviennent en arrière et obstruent les boyaux 9. 10. 11 par lesquels arrivent les Cies du 1er Btn qui ont des difficultés très grandes à se placer devant les tranchées bouleversées et renfermant pas mal de cadavres et de blessés.

Vers 9h45, une contre-attaque allemande débouche du bois de la Grurie et essaie d'arrêter les progrès du 3e Btn ; elle est arrêtée par l'action de quelques hommes qui se jettent dans les boyaux face à l'Est et les utilisent pour faire des barrages. Une section de mitrailleuses agit par son feu, de la position de l'observatoire sur cette contre-attaque.

Quelques unités du 2e et 1er Btn, qui ont réussi à gagner la troisième ligne allemande dans le bois Beaurain subissent une contre-attaque qui les rejette sur la route de Servon.

Vers 10h20, les 3e et 1er Btns progressent ; quelques éléments du 2e et 1er Btn sont sur la première ligne allemande à l'Est du bois Beaurain.

Dans ce bois, sous l'action de la contre-attaque, les éléments qui avaient atteint la troisième tranchée reculent sur la première et se reportent sur la parallèle de départ ; A ce moment, les groupes du 168e en contact à gauche reculent.

Une reprise du mouvement en avant est essayée sous le feu violent de l'artillerie ennemie qui continue son action.

Quelques éléments du 1er Btn, une cinquantaine de sapeurs-pionniers, deux sections du 2e d'infanterie qui sont dans la tranchée de départ, sont reportés en avant pour continuer le mouvement et donner la main au 3e Btn pour pénétrer dans la bois Beaurain. Cette nouvelle ligne est fauchée par le feu croisé des mitrailleuses et le feu intense de l'artillerie ; la ligne est rejetée sur la tranchée de départ.

A 14h, les éléments disloqués du régiment sont à la gauche du 2e régiment d'Infanterie qui tient la parallèle de départ de Pp2à PpA.

A 16 h, un Btn du 131e vient se placer à la gauche du régiment avec mission de tenter une reprise du mouvement en avant, en collaboration avec les Btns du 2e d'Infanterie qui sont encore disponibles. Ce Btn est retiré quelques moments après son arrivée.

Le régiment placé sur la tranchée de Servon, ayant à sa droite le 2e d'Infanterie, s’organise sur ses positions.

Toutes les tentatives faites pendant la nuit pour essayer de se porter en avant par les boyaux de raccord restent infructueuses.

Évacués: 1 officier, 11 hommes.

Pertes: État ci-joint. Ce jour là, le cousin Louis-Ernest Laurendeau caporal au 169e R.I. natif du Vigeant (86) sera tué à l'ennemi, disparu, il avait 20 ans.

Copie-de-SHDGR__GR_26_N_507__004__0105__T.JPG

Cette carte se trouve sur le JMO de la 40e Brigade d'Infanterie en sep 1915.

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